Du haut du phare breton..
Avec des pruneaux mais trop tard
Il fallait écrire far
Je souffle grand vent jusqu’à Quiberon
Et ces embruns salés jetés sur ce buvard
Inondant le pied des « Pierres Noires »
Tout en chevauchant la « Jument »
Au si joli « Petit Minou »
Et de rougir je ne vous mens
Car je vous l’avoue
Ce n’est pas avec la queue de « la pointe du chat »
Que jaillit la lumière de « l’île Vierge »
Mais en y allumant le cierge
Tout à côté de Bréhat
Et tout en passant par « Sein »
Mais même en faisant la grande roue du « Paon »
Et ne ménageant point ma « Pen-Men »…ce fût un vrai « Four »..
Avec des pruneaux mais trop tard
Il fallait écrire far
Je souffle grand vent jusqu’à Quiberon
Et ces embruns salés jetés sur ce buvard
Inondant le pied des « Pierres Noires »
Tout en chevauchant la « Jument »
Au si joli « Petit Minou »
Et de rougir je ne vous mens
Car je vous l’avoue
Ce n’est pas avec la queue de « la pointe du chat »
Que jaillit la lumière de « l’île Vierge »
Mais en y allumant le cierge
Tout à côté de Bréhat
Et tout en passant par « Sein »
Mais même en faisant la grande roue du « Paon »
Et ne ménageant point ma « Pen-Men »…ce fût un vrai « Four »..
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